« Je me prends une vague de haine… » : Charlie Nune insultée à cause de Soizic dans Demain nous appartient, elle s’inquiète pour ses enfants et adresse un message aux fans

Au cœur d’une intrigue dans Demain nous appartient sur TF1, Charlie Nune, l’interprète de Soizic, reçoit de nombreuses insultes sur les réseaux sociaux, en lien avec son personnage dans le feuilleton quotidien. Elle s’est confiée à ce sujet auprès de Télé-Loisirs.

Dans Demain nous appartient sur TF1, Soizic (Charlie Nune) a fini par céder aux avances de Martial et a entretenu une liaison avec lui jusqu’à la mort de ce dernier. Entre-temps, François (Emmanuel Moire) a découvert l’infidélité de sa compagne et la situation est plus que tendue au sein du couple. Charlie Nune a accordé une interview à Télé-Loisirs au cours de laquelle elle s’est notamment confiée sur les difficultés à tourner une scène d’amour, cette intrigue à propos de l’infidélité, mais aussi à faire face aux réactions de certains téléspectateurs.

Demain nous appartient : « Je me prends une vague de haine de gens…« , déplore Charlie Nune (Soizic)

Comme ça a été le cas dans une intrigue précédente de Demain nous appartient, Charlie Nune reçoit à nouveau des insultes sur les réseaux sociaux. « J’aimerais rappeler que Soizic, c’est un rôle. Je reçois des messages sur Instagram où je suis traitée de pute, de salope. Je me prends une vague de haine de gens qui ne font pas la différence entre la fiction et la réalité. Soizic est un rôle, ce n’est pas moi qui écris les scénarios« , a tenu à souligner et rappeler la comédienne.

Demain nous appartient : « Je vais voir rouge« , Charlie Nune révèle ce qui pourrait la mettre en colère

Toujours dans ce même entretien, Charlie Nune nous a expliqué que ce n’était pas tant pour elle mais pour son entourage que ces insultes pouvaient être impactantes : « Cela ne m’atteint pas, mais je ne sais pas comment ça va se passer cet été avec mes enfants. Sachant que j’avais déjà eu un problème similaire sur Plus belle la vie (où elle a tenu le rôle d’Eve Tressere entre 2011 et 2012, NDLR) et je m’étais fait traiter de pute devant ma belle-fille à l’époque dans la rue. Si je me fais insulter dans la rue et que je suis avec mes enfants, je vais voir rouge. »

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